La maladie des crises, médicalement connue sous le nom d’épilepsie, est une affection due à la génération d’impulsions électriques anormales dans le cerveau. Des études ont montré que bien que les anomalies génétiques puissent être parmi les facteurs les plus importants contribuant à l’épilepsie, on ne peut pas dire directement que la maladie convulsive est héréditaire. Peu de types de crises d’épilepsie ont été attribués à une anomalie dans un gène spécifique. Néanmoins, on ne peut pas dire que l’épilepsie soit purement héréditaire. Avec les progrès de la recherche médicale, il devient clair que les anomalies génétiques ne jouent qu’un rôle partiellement responsable dans le domaine des crises. La raison en est que la probabilité qu’une personne ait des crises est déclenchée par un facteur environnemental.
Dans quelle mesure les gènes contribuent-ils à la maladie des crises ?
Le rôle des gènes dans la maladie convulsive peut être présent de manière tout à fait imperceptible. Des études ont montré que certaines personnes souffrant d’épilepsie possèdent une version active d’un gène qui les rend résistantes aux médicaments. C’est pourquoi; les médicaments anticonvulsivants pour quelques personnes peuvent ne pas fonctionner. Les gènes peuvent également contrôler le risque qu’une personne ait des épisodes convulsifs appelés seuil convulsif. Il faut se rappeler que les gènes peuvent également contribuer au développement de crises chez les personnes sans antécédents familiaux. Cela peut se produire en raison d’une mutation dans un gène lié aux crises. Ainsi, on voit qu’il existe des facteurs génétiques contribuant à l’épilepsie chez un patient, mais cela ne signifie pas nécessairement qu’il est héréditaire.
Les frères et sœurs d’enfants souffrant de crises d’épilepsie sont-ils plus susceptibles d’acquérir la même chose ?
Bien qu’il puisse y avoir un risque d’une tendance génétique dans la famille des enfants atteints d’épilepsie pour la même chose, la plupart des frères et sœurs ne développent pas la maladie si facilement. Les facteurs environnementaux jouent un rôle important, qui est plus important que l’hérédité dans le domaine de l’épilepsie.
Dans quelle mesure un adulte atteint de la maladie des crises peut-il la transmettre à son enfant ?
Comme on sait que l’hérédité peut jouer un rôle important dans la formation des gènes d’une progéniture, peu de statistiques peuvent éclaircir le point-
- Des études montrent que le risque des enfants dont le père souffre de crises convulsives est légèrement plus élevé.
- Les risques héréditaires maternels sont comparativement moindres en cas d’épilepsie.
- Dans les cas où les deux parents ont eu des épisodes de crises convulsives, le risque augmente inévitablement.
Quelle est l’importance de comprendre l’épilepsie génétique?
Il est particulièrement important que les professionnels de la santé restent vigilants et informés de la possibilité et des risques d’épilepsie génétique. Les tests génétiques et le conseil sont cruciaux pour comprendre le pronostic du patient avec la maladie. Il peut également être utile à des fins de planification familiale.
Que retenir lorsqu’il s’agit d’hérédité et de crise d’épilepsie ?
C’est une pensée assez évidente de traverser l’esprit d’une personne ayant la maladie des crises que son enfant pourrait aussi développer la même chose. Cependant, il est crucial de comprendre quelques points-
- Le risque héréditaire de transmettre la maladie convulsive à la génération suivante est particulièrement faible, voire faux. La maladie des crises ne devrait jamais être une raison pour ne pas avoir d’enfants. Il est possible de connaître les formes génétiques de l’épilepsie et de comprendre son risque grâce à des tests médicaux.
- Il ne faut pas oublier que même si l’enfant ou les enfants développent une sorte de maladie convulsive, les progrès médicaux peuvent aider à maîtriser les crises. Un point important est que l’épilepsie chez la plupart des enfants disparaît au moment où ils atteignent l’âge adulte.
- Avant tout, il faut se rappeler qu’avoir la maladie des crises ne rend pas un enfant moins important. Il peut être facilement contrôlé avec des médicaments et une intervention appropriés.