Quelles sont les causes des douleurs musculaires et que faire pour y remédier ?

Quelles sont les causes des douleurs musculaires ?

Les douleurs musculaires sont l’un des problèmes les plus courants auxquels on doit faire face immédiatement ou même après quelques jours d’entraînement intense, ou d’entraînement après un certain temps, de levage d’objets lourds ou de course intense sur piste.1On pense que cela est principalement dû à l’accumulation d’acide lactique dans les muscles. L’acide lactique est un sous-produit naturel du métabolisme normal qui se produit dans notre corps pendant les entraînements.

L’acide lactique est connu pour être un irritant pour les muscles et provoquer des douleurs musculaires.2L’apparition des douleurs musculaires après l’entraînement est généralement retardée et se produit environ quelques jours après l’exercice. C’est pourquoi on l’appelle douleur musculaire à apparition retardée. Cela rend difficile la marche et les autres activités de la vie quotidienne pendant quelques jours.

L’acide lactique n’est pas le seul élément responsable des douleurs musculaires, car tout l’acide lactique accumulé dans le corps après l’entraînement est éliminé du corps quelques heures après l’entraînement, cela n’explique donc pas l’apparition des douleurs musculaires après quelques jours d’exercice rigoureux. La réponse à cette question est l’inflammation et le gonflement provoqués dans les compartiments musculaires après l’entraînement, entraînant un afflux de globules blancs et d’autres anti-inflammatoires naturels présents dans le corps qui se précipitent vers le muscle blessé pour le réparer. Ce gonflement et cette inflammation persistent quelques jours après une séance d’entraînement, entraînant des douleurs musculaires.

Que faire contre les douleurs musculaires ?

La question se pose maintenant de savoir quoi faire avec les muscles endoloris. La réponse à cette question est que le traitement des muscles endoloris peut être effectué de deux manières : l’une immédiatement après une séance d’entraînement et l’autre le lendemain d’une séance d’entraînement afin de traiter les muscles endoloris et de reprendre ses activités normales le plus tôt possible.

Traitement des muscles endoloris immédiatement après l’entraînement

Immédiatement après l’entraînement, si vous ressentez une envie immédiate de sauter vers le fauteuil ou le fauteuil inclinable le plus proche, vous devez arrêter cette envie et sauter immédiatement dans un bain de glace pendant environ 10 minutes. Cela calmera l’inflammation et soulagera immédiatement vos muscles endoloris.

C’est une bien meilleure façon de se reposer que dans un fauteuil inclinable ou pratiquement sans rien faire. Après un bain de glace, à un moment donné du soir, vous pouvez appliquer de la chaleur sur les muscles endoloris pour calmer davantage l’inflammation et le gonflement des muscles et traiter les douleurs musculaires.

Après l’exercice, essayez de manger de l’ananas ou des cerises. Ils possèdent de nombreuses propriétés anti-inflammatoires et sont très utiles dans le traitement des douleurs musculaires.

Traitement des douleurs musculaires un jour après l’entraînement

La meilleure façon de traiter les muscles endoloris le lendemain de l’entraînement de la veille est d’utiliser les muscles affectés. Essayez d’utiliser les muscles affectés de manière à ne pas les forcer et à aggraver les choses, mais utilisez-les pour des tâches douces. C’est un moyen très utile de traiter les douleurs musculaires.

Vous pouvez également recourir à l’application de glace enveloppée dans une serviette et l’utiliser sur les muscles affectés pendant 15 à 20 minutes deux à trois fois par jour pour calmer l’inflammation et l’enflure et traiter les muscles endoloris.

Masser la zone affectée est également un traitement très efficace pour traiter les muscles endoloris. Vous pouvez masser doucement la zone affectée pour calmer l’inflammation et l’enflure et traiter les muscles endoloris.

Références : 

  1. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5932411/
  2. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/3471061